Bruxelles se réveille encore trop souvent dans une désagréable odeur d’urine. 
Les nuisances dues à l’urine sauvage constituent un réel problème de propreté publique, surtout les lendemains de fête. Depuis quelques années, des associations de riverains organisent un Festival du pispot pour réclamer l’installation de lieux d’aisance et dénoncer une politique « répressive », dans une ville où la bière est reine. « Tout Bruxellois qui rentre chez lui après une visite à son estaminet préféré, tout jeune en vadrouille (…) devient vite suspect », regrettaient les organisateurs du festival. Message entendu. La ville a décidé la mise en service de trois nouvelles toilettes publiques mixtes et de 14 urinoirs pour hommes.

Lu dans le Républicain Lorrain.